Sunday, June 17, 2007



Journal de Bord du Capitaine
Coéfficient espace-temps: Bruxelles 29/05/2007

Magasin 4 once again!

Allez, allez, circulez!

Terminons donc ce panorama des concerts printaniers par ce nouveau passage au Magasin 4 - terrain de cascades s'il en est - en compagnie de nos amis franskiljoens d'Illegal Process (from Montpellier, combien de fois faudra-t-il vous le dire?) et de nos non moins camarades, flamoutchs ceux-là, des Powerkrauts (uit Tongeren - Café de Hel).

Eh oui, bon, allez, avouons-le d'emblée: ce n'était pas la foule des grands soirs!

Mais il faut quand même bien dire que l'on héritait de la date la plus ingrate possible: un mardi, lendemain de long week-end, fin de mois (donc plus de thunes) et en période d'examens!
Qui dit mieux?

En plus, on rejouait à Bruxelles dix jours plus tard et gratuitement (oui, comme d'hab': "on y reviendra").

Donc peu, très peu de monde en ce mardi soir au Magasin 4!
Mais bon, on a fait contre mauvaise fortune bon coeur, comme on dit...
Surtout nous, qui étions finalement les mieux placés de la soirée. En deuxième position. L'étage noble sur l'affiche!

Pour être honnête, c'et surtout pour les braves Powerkrauts que ça a dû être le plus dur: ouvrant la soirée ils ont dû jouer devant un grosse vingtaine de personnes!
Au Magasin 4, en plus, c'est un peu tristounet...

Presque idem pour Illegal Process qui compensent cet état de fait par une énergie et un sens du spectacle indéboulonnable!
Bien qu'avec leur nouveau chanteur, un petit peu moins charismatique que le précédent et l'absence d'un second guitariste, leur puissance de feu se soit quelque peu étriquée.
Pour tout dire, j'ai été moins impressionné que la dernière fois, à Rixensart.
Mais ce n'est pas grand'chose et il est probable que quand ils auront (re)trouvé leurs marques au sein de cette nouvelle mouture ils redeviendront la machine de guerre punk/hardcore de jadis. Celle dont les murs du salon de Gourou se souviennent encore.

Je ne m'attarderais pas sur notre prestation, fort dans l'énergie, un peu moins dans la précision et singulièrement dépourvue de cascades (au grand dam de certains) pour retenir celle, dans le public cette fois, des insolents Dividers, des incontournables State of Nature et des deux membres du B.E.C. présents ce soir-là.

C'est eux qui et quelques autres qui nous ont permi de transformer cette soirée sans celà un peu terne en une vraie réussite rock'n'rollesque.

Merci les gars, vous êtes de vrai potes!

Et tant pis pour ceux qui n'y étaient pas!

Wednesday, June 13, 2007



On s'en fout! (1-***)

Hier, sommet de beaufitude et de désoeuvrement, j'ai réécouté mes vieux Maiden (enfin, les cinq premiers, les "classiques". De "Iron Maiden" à "Powerslave", quoi) en buvant de la bière.

Résultat des courses: "Hallowed Be Thy Name" reste leur meilleur morceau, haut la main, et aujourd'hui j'ai la tête dans le cul...


*baille*

(Je suis plus vieux d'un jour)

Tuesday, June 05, 2007




Journal de Bord du Capitaine

Coéfficient espace-temps: Tongres 18/05/2007

Après la France, la Flandre!
Les concerts se suivent et se ressemblent, du moins du point de vue de l'affluence.
Pas grand'chose à dire de celui-ci, qui se tenait au Café De Hel, à Tongres, patrie d'Ambiorix (et pas de Vercingétorix, ça n'a rien à voir) si ce n'est qu'on a facilement dû jouer devant douze personnes.
Pas moins!

Alors que raconter si ce n'est que le Café De Hel est un très chouette endroit (genre La Zone/Magasin 4 mais en plus rock'n'roll. Avec des fresques des Ramones et des Misfits au mur), que les membres des Powerkrauts sont des gens charmants qu'on a d'ailleurs fait rejouer depuis (on en reparlera), que les quelques jeunes présents étaient, par une facétie du décor, plutôt massés - enfin, "massés"... - derrière la scène (et jouaient au kicker, demandez à Fred VDH qui entendait le bruit des balles derrière lui pendant qu'il jouait) et que grâce aux accessoires disséminés dans la salle (billard, canapé... ) j'ai pu inaugurer de nouvelles cascades?

Et bien rien.
Ou pas grand'chose.
Concert sans histoires, public absent, bière en abondance, retour maison.

Et avec ça, on n'a toujours pas eu nos frites!
Heroes and Icons...


(René Goscinny - 1926/1977).